AU JARDIN...
les Légumes et Fruits


     Tous les légumes sont issus de graines et bulbes issus de culture biologique et/ou biodynamique.
(fournisseurs : le Biaugerme, Essembio, Kokopelli et Germinance)

 

     Nous reproduisons chaque année des semences de ferme afin de tendre vers le plus d'autonomie dans l'organisme agricole. Les variétés sont inscrites ou non au catalogue officiel, sont non hybrides (F1) et non Génétiquement Modifiées (GM), elles ne sont traitées avec aucun produit chimique de synthèse.


     Nous semons en direct dans le sol à l'aide d'un semoir poussé mécaniquement pour la majorité des espèces et plantons à la main les bulbes, racines et plants. Plants que nous produisons nous même sur terreau « nature et progrès » dans nos tunnels froids en début de printemps.

     Pour les semis et les plantations, nous suivons les recherches bientôt centenaires d'agriculteurs biodynamiques ayant travaillé sur l'influences des rythmes lunaires et cosmiques sur la croissance, la santé et les qualités organoleptiques des plantes. Un calendrier est édité chaque année par le mouvement de la biodynamie.

 

     Nous avons en plus des légumes des plantations d'arbustes fruitiers (framboises, cassis, groseilles) et d'arbres à fruits (cerises, mirabelles, pommes, merises, coings qui donnent déjà ; et de poires, pêches de vigne, abricots, et pommes qui sont en croissance)

 

     Nous utilisons une « couche chaude » sous châssis constituée de fumier frais sur lequel nous rajoutons de la terre et pouvons ainsi semer les plantes plus exigeantes en chaleur (plants de tomates, aubergines, poivrons...) et celles destinées à être plantées en plein champs dès le début de saison (plants de salade, chou, poireau d'été...).

 

     Nous possédons trois tunnels de 75 m2 qui sont destinés à :

-une petite production en début de printemps et en fin d'automne,

-la production de plants à repiquer,

-la plantation des légumes « du sud ».

     Pour l'arrosage de ces tunnels, nous utilisons de l'eau de récupération.

 

Notre travail est basée sur le respect de la nature et de l'homme.

Un sol biologiquement sain est un sol qui respire, qui se nourrit et se repose.
Le sol est un organisme vivant.

Toutes actions sur le terrain sont conditionnées par le respect de ces faits.

 

     Pour nourrir ce sol, nous laissons sur les champs les différents résidus de culture, de coupe d'herbe ou de paillage. Le semis d'engrais verts (plantes qui fixent l'azote) puis leur broyage sur place va également dans ce sens. L'ajout de compost participe à compenser les manques et à rétablir les équilibres.

     N'ayant pas encore suffisamment de compost lié au compostage des fumiers de nos élevages (qui n'attendent que de se développer un peu), nous utilisons le fumier composté déshydraté de la marque fumeterre, produit en Isère, labellisé nature et progrès.

 

     Nous travaillons le sol superficiellement sur des planches de cultures permanentes avec des allées enherbées. L'idée suivie est que ce sont les plantes par leur enracinement qui viendront travailler le sol. A ce propos, la rotation des cultures fait partie des bases de cette agriculture.

     Nous sarclons nos plantes mécaniquement, principalement à la main.

 

     Pour nous soulagez quelque peu (avec tout de même l'envie, à terme, de mettre en place la traction animale (un ou deux ânes attelés) nous utilisons, selon les besoins, un motoculteur et un tracteur (depuis 2014) tournants au rouge .
 


Info : Sur l'année 2011, nous avons "mal" brûlé une cinquantaine de litres de carburant pour le motoculteur, et une cinquantaine pour les autres machines thermiques (débroussailleuse, mini-faucheuse, tronçonneuse, tondeuse). L'utilisation des outils thermiques est limitée au maximum.



     Nous prévoyons également cette année 2012 de limiter nos déplacements automobiles au strict nécessaire et de les substituer, à chaque fois que cela est possible, par des déplacements doux : Bicyclette et Marche. Cela a bien évolué en 2013-2014 par le remplacement de la voiture pour les marchés et livraisons par des vélos à assistance électrique.

 

     Nous associons les plantes entres elles, nous diversifions les variétés, nous plantons des plantes vivaces et arbrisseaux dans nos champs afin de développer la biodiversité et ainsi diminuer considérablement la pression parasitaire -et les traitements- régulé naturellement par la multitude de vie. Nous nous formons à des techniques de traitements des plantes par les plantes médicinales (ortie, consoude, absinthe, sauge...), nous cultivons ces plantes.




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